Réchauffisme: Une pléthore de nouveaux scandales impliquant les fraudeurs du GIEC
par Martin Masse
Vous ne lirez pas ces histoires sous la plume de nos idéologues réchauffistes, les François Cardinal de La Presse, Éric Moreault duSoleil, ou encore Yanick Villedieu de Radio-Canada(1). Mais depuis quelques semaines, de nouveaux scandales impliquant les fraudeurs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) ne cessent d'être mis au jour.
Le Climategate avait ouvert les vannes à l'automne en suscitant un immense intérêt envers les dessous de la «science» réchauffiste de la part des internautes partout dans le monde. L'histoire des glaciers de l'Himalaya est venue confirmer de manière spectaculaire l'amateurisme flagrant qui caractérise la rédaction des rapports du GIEC. Depuis, des chercheurs et journalistes ont fouillé d'autres exemples de manipulations des données qui enlèvent toute crédibilité aux apparatchiks onusiens. Voici quelques-unes de ces révélations.
- Pour revenir tout d'abord sur le dossier des glaciers de l'Himalaya, l'auteur principal qui coordonnait le chapitre du rapport du GIEC sur les glaciers, Murari Lal, a admis que la prédiction d'une disparition en 2035 n'avait pas été vérifiée, mais qu'il l'avait laissée dans le texte parce que «Nous pensions que si nous pouvions mettre l'accent là-dessus, cela aurait un effet sur les décideurs et les politiciens et les encouragerait à entreprendre des actions concrètes». Selon la propre déclaration de principes de l'organisme, les rapports du GIEC sont pourtant censés offrir une information scientifique objective et neutre sur le plan des politiques à adopter. Cette histoire démontre qu'ils servent en fait de support à une campagne de manipulation de l'opinion publique et des décideurs.
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