lundi 15 octobre 2012

Un rapport qui ne fera certainement pas les manchettes...

...venant du Met Office (l'equivalent Anglais d'Environnement Canada). En effet, l'organisme Britannique vient de reveler que la temperature globale moyenne est inchangee depuis...1997! Une autre tuile sur les predictions alarmistes de nos amis rechauffistes... Merci a Robert Wenzel. Sources: http://www.economicpolicyjournal.com/2012/10/global-warming-stopped-16-years-ago.html http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2217286/Global-warming-stopped-16-years-ago-reveals-Met-Office-report-quietly-released--chart-prove-it.html

mercredi 30 mai 2012

L'hypocrisie définie: Cristine Lagarde

Mme Lagarde, présidente du FMI, critique les grecs car ils font de l'évasion fiscale...alors qu'elle ne paie aucun impôt sur son salaire de près de 600 000 Euros... Relaté par Robert Wenzel (http://www.economicpolicyjournal.com/2012/05/another-elitist-hypocrite-this-time.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed:+economicpolicyjournal/YZSb+(EconomicPolicyJournal.com &utm_content=Google+Reader)

jeudi 24 mai 2012

Le marché comme émergence sociale

Fascinante histoire sur l'émergence d'une économie de marché dans les camps de prisonniers de la 2e guerre mondiale. Market institutions, Radford concluded, were universal and spontaneous, “a response to immediate needs” rather than an attempt to imitate civilian life. One of the spontaneous developments was the emergence of a currency: the cigarette, which was portable and reasonably homogenous. Not entirely so, though: cigarettes could be “sweated” by rolling them back and forth between the fingers to shake a little tobacco out. Gresham’s Law – “bad money drives out good” – asserted itself, as the plumper cigarettes were reserved for smoking, while those that circulated as money grew thinner. When Red Cross supplies were interrupted, deflation set in, as a cigarette bought ever more goods.

lundi 21 mai 2012

La vraie écologie se doit d'être capitaliste

Par Piere-Guy Veer du QL: Le 22 avril dernier, on célébrait le Jour de la Terre. Évidemment, qui dit célébration écologiste dit propagande anticapitaliste. Selon plusieurs manifestants, le capitalisme est le pire de tous les systèmes économiques et il est responsable de la destruction de la planète. Vraiment? Voyons voir ce qui se passait derrière dans les pays communistes, où l'État contrôlait toute l'économie et où la recherche du profit, l’une des supposées causes de la pollution, était interdite. Cela laisse présager un nirvana... En fait, c'était l'enfer, et le mot est faible. Moscou avait comme seul but d'industrialiser l'URSS à tout prix. Le gouvernement a donc pris plusieurs raccourcis, malgré les avertissements de quelques scientifiques dans les années 1930. Résultat: l'irrigation massive a causé de l'érosion et la salinisation de plusieurs plan d'eau, dont la mer d'Aral; l'utilisation excessive de pesticides et d'engrais a complètement chamboulé les écosystèmes; plusieurs forêts sont mortes, particulièrement en Arctique; et j'en passe. La Chine n'était pas mieux sous Mao. On estime que 90% des conifères du Sichuan ont été détruits par la pollution atmosphérique. Les forêts ont aussi subi un tort irréparable durant le « Grand Bond en avant ». En effet, on utilisait des fours à bois communaux (à petite capacité, et ce même dans les plus petits villages) pour tenter de produire de l'acier, ce qui a accéléré l'érosion. On a également tenté d'éliminer un merle, ce qui a favorisé une invasion de sauterelles et décimé les récoltes en 1958. Enfin, si vous n'étiez pas convaincus des méfaits du socialisme dans ces deux pays, attendez de voir ce qui se passait en Europe de l'Est: • En Pologne, les rails étaient tellement rongés par les pluies acides que les trains ne pouvaient rouler plus vite que 40 km/h. La région de Katowice, fortement industrialisée, voyait ses habitants souffrir de 47% plus de problèmes respiratoires que le reste du pays. Enfin, on estime que 95% de toute l'eau était impropre à la consommation humaine et 65% à la consommation industrielle – la pollution était telle que les métaux lourds utilisés étaient menacés. • En Tchécoslovaquie, 50% des forêts étaient mortes ou mourantes à cause de taux de dioxyde de soufre huit fois plus élevés qu'aux États-Unis. Les sols étaient tellement acides que l'aluminium contenu dans le sol s'échappait, empoisonnant l'eau potable. • En Allemagne de l'Est, 1/3 de tous les lacs ont été déclarés biologiquement morts à cause de tous les déchets qui y ont été déversés. Aussi la pollution était telle que dans certaines villes, il fallait allumer ses phares en plein jour; les touristes qui y respiraient vomissaient fréquemment.

mercredi 2 mai 2012

Le Club des 100 000

Par David Descoteaux: Plus près d’ici, la chaîne Global nous apprenait en septembre dernier que le nombre d’employés de la Ville de Montréal gagnant 100 000 $ et plus a triplé entre 2009 et 2010. Triplé! Quelque 1700 employés, la plupart des cadres supérieurs, font désormais partie du « club des 100 000 $ et plus ». Ils étaient 626 l’année d’avant. Pendant que dans la métropole aux 103 élus, votre compte de taxes foncières continue de grimper. Est-ce que ça compte, ça aussi, dans la croissance des inégalités? Rappelons que les 100 000 $ et plus forment seulement 4,1 % des contribuables au Québec, selon la dernière parution des statistiques fiscales des particuliers. Ce sont, en quelque sorte, nos « riches ». Ce n’est pas fini. L’an dernier, on apprenait que 2795 fonctionnaires à Québec gagnent 100 000 $ et plus. Plus du double par rapport à 2005! Et six fois plus qu’en 2001, rapportait La Presse. Et ces chiffres ne tiennent pas compte des organismes et sociétés d’État comme Radio-Canada, Hydro, la SAQ ou la société de transport de Montréal (STM).

Le sauvetage secret des banques Canadiennes

Par Bernard Mooney sur le site des Affaires.com: «Mais au moins nos banques n’ont pas eu besoin de l’aide du gouvernement pour traverser la crise financière….». J’ai entendu cela et je l’ai lu des dizaines de fois depuis 2009, entre autres de personnes qui ne pouvaient que se montrer fières du système bancaire canadien. On reviendra sur la fierté car l’important c’est de dire que c’est FAUX! FAUX! FAUX. Comprenez-moi bien : c’est FAUX. Nos banques ont reçu l’aide du gouvernement pour sortir indemne de la crise. La façon la plus connue (ou la moins cachée), c’est lorsque le gouvernement, par le biais de la SCHL, a racheté pour 69 milliards de dollars (G$) d’hypothèques des grandes banques. Ces dernières se sont retrouvées immédiatement avec des bilans plus solides. Mais ce n’est pas tout. Selon une étude faite par le Canadian Centre for Policy Alternatives (CCPA), l’aide gouvernementale totale attendrait 114G$ ! Cela représente 3 400 $ par Canadien et 7% du produit intérieur brut de 2009.

samedi 28 avril 2012

Les impôts et taxes: le plus gros poste budgétaire des familles Canadiennes

Via Toronto Sun: Taxes are taking a bigger chunk out of Canadians' budgets than basic necessities like food, clothing and shelter, a new report from the Fraser Institute says. The public policy think-tank calculated that over the past 50 years, an average family's total tax bill has increased 1,738%, the report Canadian Consumer Tax Index 2012 said. Over the same period, the cost of shelter increased by 1,185%, food by 518%, and clothing by 500%. "Taxes from all levels of government make up the single largest expenditure facing Canadian families," Charles Lammam, Fraser Institute associate director of tax and budget policy research, said in a release about the report Thursday.

L'école étatique: en désuétude accélérée

Par Martin Masse (originalement publiée en 2008): L'éducation à distance — ou même chez soi avec un professeur qu'on pourra télécharger et qui donnera son cours sous la forme d'un hologramme dans son salon, comme le personnage du Docteur dans Star Trek Voyager — va faire en sorte qu'on pourra bientôt outrepasser les écoles de l'État. Ce secteur connaît une expansion fulgurante à travers le monde, avec des milliers de programmes différents maintenant offerts par des institutions de partout sur la planète. Il est dorénavant possible de télécharger sur le Web tous les cours magistraux donnés par le Massachussetts Institute of Technology, et cela gratuitement! Chacun peut donc théoriquement suivre les mêmes cours qu'un étudiant qui paie 35 000 $ par année pour y assister en personne. Et ça ne se limite pas à la formation universitaire. Les parents qui choisissent l'enseignement à la maison ont maintenant accès à une grande quantité de ressources sur Internet. Des programmes d'enseignement complets, du primaire à l'université, seront bientôt disponibles et accessibles partout dans le monde. Évidemment, ces programmes virtuels sont souvent offerts par d'autres institutions étatiques, mais la concurrence mondiale change totalement la dynamique. On n'est plus limité à l'école du quartier ou à l'université de la plus proche ville. Il devient possible de comparer et de choisir les programmes les meilleurs, les plus pertinents et les moins corrompus par les multiples idéologies collectivistes à la mode. Cette concurrence détruit le pouvoir des élites.

vendredi 20 avril 2012

Le retour du catastrophiste en chef

Par Gilles Guénette du QL: Vous vous souvenez sans doute de lui. En 2007, il était partout pour parler de la fin du monde appréhendée. Le biologiste et cinéaste Jean Lemire, accompagné d'un équipage de scientifiques et de cinéastes, revenait d'une expédition où il avait été vivre les changements climatiques et leurs conséquences « dans les griffes glacées du continent Antarctique sur le voilier Sedna IV » (comme on peut le lire sur glacialis.tv). La Presse lui avait donné une chronique hebdomadaire et il faisait quasiment partie des meubles à Radio-Canada. Eh bien imaginez-vous que M. Lemire reprend le flambeau. Il part à la conquête du monde cette fois dans une mission intitulée: « 1000 jours pour la planète ». Mille jours?! Oui, madame. Trois longues années de « sensibilisation environnementale » et de propagande catastrophiste en vue. De quoi raviver l'intérêt pour la thèse du réchauffement climatique ‒ qui semble avoir diminué depuis quelques années. Pour se faire, les différentes étapes de l'itinéraire du Sedna IV pourront être suivies sur toutes les plateformes de Radio-Canada, notamment à l'émission Découverte, par le biais d'une série à RDI, à la radio et sur internet.

jeudi 19 avril 2012

Le manifesto libertarien de la pollution

Du grand Rothbard: There is, first of all, this stark empirical fact: Government ownership, even socialism, has proved to be no solution to the problem of pollution. Even the most starry-eyed proponents of government planning concede that the poisoning of Lake Baikal in the Soviet Union is a monument to heedless industrial pollution of a valuable natural resource. But there is far more to the problem than that. Note, for example, the two crucial areas in which pollution has become an important problem: the air and the waterways, particularly the rivers. But these are precisely two of the vital areas in society in which private property has not been permitted to function.

mercredi 18 avril 2012

De l'importance des prix, et des effets pervers de l'interférence gouvernementale sur ceux-ci.

Par le Minarchiste:

Le prix est une donnée fondamentale pour qu’un marché fonctionne bien car c’est le prix qui coordonne tous les acteurs du marché de façon à ce que l’offre puisse adéquatement servir la demande. Lorsque les prix sont manipulés et éloignés artificiellement de leur niveau naturel, le résultat est généralement de la destruction de richesse et du gaspillage de ressources.
Bien que notre économie soit qualifiée de « capitaliste », on constate rapidement qu’il est bien difficile d’y trouver un prix qui ne soit pas manipulé par le gouvernement. Certains diront que c’est pour « corriger les erreurs du marché » ou encore « protéger les consommateurs des excès du libre-marché ». Cependant, lorsqu’on observe les conséquences directes et indirectes de ces manipulations, on constate rapidement que la population est plutôt flouée par l’ingérence de l’État dans l’économie.

jeudi 12 avril 2012

La méga-bulle immobilière chinoise vue de l'intérieur

64 millions d'unités d'habitation vides...une (autre) illustration de l'impossibilité de la planification centrale de l'économie.

Via EPJ.

mardi 20 mars 2012

La guerre des gouvernements contre l'argent comptant et ses véritables objectifs

Par Joseph Salerno de Mises.org:

Under cover of its multiplicity of fabricated wars on drugs, terror, tax evasion, and organized crime, the US government has long been waging a hidden war on cash. One symptom of the war is that the largest denomination of US currency is the $100 note, whose ever-eroding purchasing power is far below the purchasing power of the €500 note. US currency used to be issued in denominations running up to $10,000 (including also $500; $1,000; $5,000 notes). There was even a $100,000 note issued for transactions among Federal Reserve banks. The United States stopped printing large denomination notes in 1945 and officially discontinued their issuance in 1969, when the Fed began removing them from circulation. Since then the largest currency note available to the general public has a face value of $100. But since 1969, the inflationary monetary policy of the Fed has caused the US dollar to depreciate by over 80 percent, so that a $100 note in 2010 possessed a purchasing power of only $16.83 in 1969 dollars. That is less purchasing power than a $20 bill in 1969!

Despite this enormous depreciation, the Federal Reserve has steadfastly refused to issue notes of larger denomination. This has made large cash transactions extremely inconvenient and has forced the American public to make much greater use than is optimal of electronic-payment methods. Of course, this is precisely the intent of the US government. The purpose of its ongoing breach of long-established laws regarding financial privacy is to make it easier to monitor the economic affairs and abrogate the financial privacy of its citizens, ostensibly to secure their safety from Colombian drug lords, Al Qaeda operatives, and tax cheats and other nefarious white-collar criminals

Now the war on cash has begun to spread to other countries. As reported a few months ago, Italy lowered the legal maximum on cash transactions from €2,500 to €1,000. The Italian government would have preferred to set a €500 or even €300 maximum limit but reasoned that it should permit Italians time to adjust to the new limit. The rationale for this limit on the size of cash transactions is the fact that the profligate Italian government is trying to reduce its €1.9 trillion debt and views its anticash measures as a means of cracking down on tax evasion, which "costs" the government an estimated €150 billion annually.

The profligacy of the Italian ruling class is in sharp contrast to ordinary Italians who are the least indebted consumers in the eurozone and among its biggest savers. They use their credit cards very infrequently compared to citizens of other eurozone nations. So deeply ingrained is cash in the Italian culture that over 7.5 million Italians do not even have checking accounts. Now most of these "bankless" Italians will be dragooned into the banking system so that the notoriously corrupt Italian government can more easily spy on them and invade their financial privacy. Of course Italian banks, which charge 2 percent on credit-card transactions and assess fees on current accounts, stand to earn an enormous windfall from this law. As controversial former prime minister Berlusconi noted, "There's a real danger of crossing over into a fiscal police state." Indeed, one only need look at the United States today to see what lies in store for Italian citizens.

lundi 19 mars 2012

Le gouvernement Canadien: responsable de la bulle immobilière pan-canadienne?

Via le Minarchiste:

Le marché immobilier Canadien est présentement surévalué. Cette situation s’est développée de concert avec une augmentation marquée de l’endettement des Canadiens et une expansion démesurée du crédit hypothécaire.

La résolution de cette problématique résultera tôt ou tard en une sévère correction des prix des propriétés, qui sera probablement suivie d’une récession. On notera d’ailleurs qu’il n’y aura jamais eu autant de canadiens oeuvrant dans l’industrie de la construction et les secteurs qui y sont reliés. De plus, les gens ont utilisé la plus-value de leur maison pour souscrire à des lignes de crédit hypothécaire leur permettant de doper leur consommation à crédit et utilisant de fait leur maison comme une carte de crédit. Autrement dit, notre économie n’a jamais été aussi dépendante de l’immobilier.

Lorsque la récession sévira finalement, je pressent déjà les commentaires qui paraîtront dans les médias, blâmant le manque de règlementation et d’intervention de l’État pour limiter les « instincts animaliers » des emprunteurs canadiens.

dimanche 11 mars 2012

Qu'est-ce qu'on peut s'acheter pour 899 000$? Vancouver vs Donegan, Irlande

À voir, un article de Mish épeurant sur la bulle immobilière àVancouver en comparaison à un endroit qui à vu sa bulle dégonfler de façon spectaculaire, l'Irlande...

Vancouver B.C. vs. Donegal Ireland Real Estate: What Will $890,000 Buy?

mercredi 29 février 2012

Le socialisme, en bref

"The good news is that, according to the Obama administration, the rich will pay for everything. The bad news is that, according to the Obama administration, you're rich."

-P.J. O'Rourke

La propriété privée: condition nécessaire à la responsabilité

Via mises.org:

Responsibility means that one is accountable for one's actions, but this is impossible if the authority for decision making does not lie with the actor himself. In its fullest sense, responsibility means the acceptance by the actor of the full burden of this accountability, an awareness that he cannot pass the buck, so to speak, but alone must bear the moral weight of the consequences of his actions. A society of responsible citizens, then, is not one in which the masses play follow the leader; rather, it is one in which, as a rule, the individual makes no attempt to place outside himself the locus of accountability for his own decisions, nor asserts the right to have others relieve him of it. Responsibility is therefore strongly associated with such qualities as maturity, self-control, and intellectual autonomy, while it correlates negatively with dependence, subservience, and social conformity. This is why it is axiomatic in libertarian philosophy that liberty and responsibility must necessarily go together, and why Viktor Frankl said that the Statue of Liberty in New York should be offset by a Statue of Responsibility in California.

lundi 20 février 2012

Explication

To understand politics, you have to break the word down.

Poli (poly) - mathematical term for "many"

Tic (ticks) - blood sucking parasites.

Le commerce comme unificateur pacifique

Entrez dans la Bourse de Londres, cette place plus respectable que bien des cours; vous y voyez rassemblés les députés de toutes les nations pour l'utilité des hommes. Là, le juif, le mahométan et le chrétien traitent l'un avec l'autre comme s'ils étaient de la même religion, et ne donnent le nom d’infidèles qu'à ceux qui font banqueroute; là, le presbytérien se fie à l'anabaptiste, et l'anglican reçoit la promesse du quaker. Au sortir de ces pacifiques et libres assemblées, les uns vont à la synagogue, les autres vont boire; celui-ci va se faire baptiser dans une grande cuve au nom du Père par le Fils au Saint-Esprit; celui-là fait couper le prépuce de son fils et fait marmotter sur l'enfant des paroles hébraïques qu'il n'entend point; ces autres vont dans leur église attendre l'inspiration de Dieu, leur chapeau sur la tête, et tous sont contents.

-Voltaire, Lettres Philosophiques, 1734

mercredi 15 février 2012

Warren Buffett: de capitaliste à corporatiste

Via Reason.com:

In the summer of 2008, when several investment houses and the government-sponsored mortgage companies Fannie Mae and Freddie Mac teetered on the brink of financial collapse, Buffett was “uncharacteristically quiet,” as the London Guardian observed. It was only on September 23 that he became a highly visible player in the drama, investing $5 billion in Goldman Sachs, which was overleveraged and short on cash. Buffett’s play gave the investment bank a much-needed cash infusion, making a heck of a deal for himself in return: Berkshire Hathaway received preferred stock with a 10 percent dividend yield and an attractive option to buy another $5 billion in stock at $115 a share.

Wall Street was on fire, and Buffett was running toward the flames. But he was doing so with the expectation that the fire department (that is, the federal government) was right behind him with buckets of bailout money. As he admitted on CNBC at the time, “If I didn’t think the government was going to act, I wouldn’t be doing anything this week.”

Buffett needed the bailout. In addition to Goldman Sachs, which was not as badly leveraged as some of its competitors, Buffett was heavily invested in several other banks, such as Wells Fargo and U.S. Bancorp, that were also at risk and in need of federal cash.

Le Mythe pernicieux du 'Noble Primitif'

Par David Deming:

The late Joseph Campbell maintained that civilizations are not based on science, but on myth. "Aspiration," Campbell explained, "is the motivator, builder, and transformer of civilization." Our technological society has been built on Francis Bacon's myth of the New Atlantis. Bacon was the first person to unambiguously and explicitly advocate the practical application of scientific knowledge to human needs. "The true and lawful goal of the sciences," he explained, "is that human life be endowed with new discoveries and powers." Writing in the early seventeenth century, Francis Bacon predicted lasers, genetic engineering, airplanes, and submarines.

Competing with Bacon's vision of a society based on science is the older and more persistent fable of the Noble Savage. The Noble Savage is not a person, but an idea. It is cultural primitivism, the belief of people living in complex and evolved societies that the simple and primitive life is better. The Noble Savage is the myth that man can live in harmony with nature, that technology is destructive, and that we would all be happier in a more primitive state.

Before Jesus Christ lived, the Noble Savage was known to the Hebrews as the Garden of Eden. The Greek poet Hesiod (c. 700 BC) called it the Golden Age. In the lost Golden Age, people lived in harmony with nature. There was no disease, pain, work, or conflict. Everyone lived in perfect peace. Insects didn't bite you. There were no extremes of temperature, and you could wander naked through the fields. If you happened to be hungry, all you had to do to satisfy your craving was reach up and pick a sumptuous ripe fruit off a nearby tree.

mercredi 8 février 2012

Doug Casey et le service social du profit

Notice one more thing: making money honestly means creating something other people value, not yourself. The more money I want, the more I have to think about what other people want, and find better, faster, cheaper ways of delivering it to them. The reason someone is poor – and, yes, I know all the excuses for poverty – is that the poor do not produce more than they consume. Or if they do, they don't save the surplus.

-Doug Casey

vendredi 3 février 2012

Les présidents de la FED positionnent leurs portfolios pour se protéger de l'inflation

Robert Wenzel rapporte:

Earlier this week I reported that New York Fed President Bill Dudley owned over $1 million worth of Treasury securities whose interest climbs with increasing price inflation.

Now comes word that Dallas Fed president Richard Fisher owns over $1 million dollars of gold.

One has to ask, do these guys take themselves seriously as inflation fighters if they have these kinds of positions in their personal portfolios?

It's a damn joke. It's like going to a doctor who has taken out and insurance policy that pays off on your death.

jeudi 2 février 2012

Goethe: Génie littéraire et scientifique, ainsi que libéral classique

Par Hans Herman-Hoppe:

This year marks the 250th birthday of Johann Wolfgang von Goethe. Most Europeans know that he was the greatest of all German writers and poets and one of the giants of world literature. Less well known is that he was also a thorough-going classical liberal, arguing that free trade and free cultural exchange are the keys to authentic national welfare and peaceful international integration. He also argued and fought against the expansion, centralization, and unification of government on grounds that these trends can only hinder prosperity and true cultural development. Because of his relevance to the ongoing construction of Europe, I'd like to nominate Goethe as the European of the millennium.

La théorie du réchauffement climatique anthropogénique réfutée: verra-t-on le mea culpa??

Par Nathalie Elgrably-Levy:

Il y a quelques jours à peine, un autre collectif, celui-ci composé de seize chercheurs de réputation mondiale, a signé un texte nous invitant à ne pas paniquer à propos du réchauffement climatique. Selon eux, il n’existe aucun argument scientifique irréfutable pour justifier l’adoption de mesures radicales de décarbonisation de la planète.

L’impact de ce texte est toutefois marginal à côté du coup de grâce porté, presque simultanément, par l’unité de recherche sur le climat de la University of East Anglia (UEA), située au Royaume-Uni. On se souvient que ce sont principalement des chercheurs de cette université qui ont influencé le GIEC, les décisions de nos gouvernements et les propos apocalyptiques d’Al Gore. L’un d’eux, David Viner, avait même affirmé que les enfants britanniques ne connaîtraient pas la neige. On se souvient également que ce sont les chercheurs de ce même établissement qui ont été au centre du scandale des courriels (Climategate). On leur reprochait, entre autres, d’avoir dissimulé l’absence de réchauffement au cours de la dernière décennie.

Heureusement, la vérité finit toujours par triompher. Des chercheurs de la UEA viennent de dévoiler leurs dernières conclusions à la suite de l’analyse de données provenant de 30 000 stations. Le verdict est simple : il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis 1997! Vous avez bien lu, le berceau de la théorie du réchauffement climatique confirme que sa thèse était fausse. Son discours alarmiste était donc non fondé. L’édifice climato-catastrophiste était lézardé depuis plusieurs années. Avec les révélations de la UEA, il s’est complètement écroulé.

J’adresse donc quelques questions élémentaires à nos politiciens encore déterminés à sauver l’humanité : maintenant que vous savez que les chercheurs à l’origine de la thèse du réchauffement climatique sont revenus sur leurs affirmations et qu’ils confirment que la température n’a pas bougé depuis quinze ans, allez-vous à votre tour réviser vos politiques environnementales? Êtes-vous toujours résolus à saboter notre économie avec une bourse du carbone destinée à corriger un problème que vous êtes maintenant seuls à voir?

La thèse du réchauffement climatique est morte… un véritable leader ne pourra feindre de l’ignorer!

Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.

dimanche 29 janvier 2012

La Liberté de presse: prérequis pour une société libre

Extrait de la Mentalité anticapitaliste de Ludwig Von Mises (1954):

Unlicensed printing is the lifeblood of literature.

A free press can exist only where there is private control of the means of production. In a socialist commonwealth, where all publication facilities and printing presses are owned and operated by the government, there cannot be any question of a free press. The government alone determines who should have the time and opportunity to write and what should be printed and published. Compared with the conditions prevailing in Soviet Russia, even Tsarist Russia, retrospectively, looks like a country of a free press. When the Nazis performed their notorious book auto-da-fes, they exactly conformed to the designs of one of the great socialist authors, Cabet.[1]

samedi 28 janvier 2012

Au Québec, on voit grand!

Par David Descoteaux:

Début d’année tout à fait normal au Québec. Cette société distincte qui ne reconnaît pas le concept de crise économique.

Le patron de l’Agence métropolitaine de transport, Joël Gauthier, a décidé de quitter ses fonctions. Le train de l’Est, c’était sa responsabilité. Le projet va coûter deux fois plus que prévu. Aucun problème! On va donner à M. Gauthier une prime de départ de 115 000 $. Le temps de le recaser ailleurs dans la fonction publique, j’imagine.

Ce n’est pas sa faute si ce fiasco va coûter 400 millions $ de plus. Ce n’est jamais de la faute à personne au gouvernement. En fait, c’est probablement votre faute, contribuables. En tous cas, c’est vous qui allez payer.

Direction Ville de Montréal. Le nouveau directeur général, Guy Hébert, va gagner un salaire de 300 000 $. C’est plus que Stephen Harper, et presque autant qu’Obama. Mais c’est justifié. Le talent, ça se paye. Son prédécesseur gagnait encore plus, et voyez comment Montréal est bien gérée aujourd’hui! De toute façon, on assomme les Montréalais avec des hausses de taxes depuis trois ans. Faut bien dépenser cet argent quelque part. « J’aurais même pu demander un peu plus », a dit M. Hébert. Il ne l’a pas fait. On appelle ça se sacrifier pour le bien commun. Bravo!

Payez, cochons!

Petit détour à la Société de Transport de Montréal (STM). Cette entreprise très lean, qui gagne des concours de beauté à travers le monde. La STM vient d’accoucher d’une idée tout à fait originale pour grossir encore plus : taxer les autres! Avec des péages, ou d’autres taxes sur l’essence, ou les deux! Fallait y penser. Ces gens-là (les cadres) ont vu grimper leur masse salariale de 17 % l’an dernier. Ce n’est pas pour rien. Ça prend des vrais leaders pour décider de hausser le tarif aux usagers chaque année ou presque, trois fois plus vite que l’inflation.

Vous préféreriez que les gens de la STM gèrent mieux les subventions qu’ils reçoivent? Qu’ils sacrifient une partie de leurs généreux salaires et avantages sociaux? Allons donc! Il vous reste encore quelques sous au fond de vos poches, on le sait.

Avant que j’oublie… Récession ou pas, les subventions aux entreprises continuent d’augmenter. Comme le nombre de cadres dans les réseaux de la santé et de l’éducation (pendant que nos profs et infirmières ramassent des miettes). Mais n’ayez crainte. On a envoyé une femme de Repentigny en prison parce qu’elle a remis ses livres en retard à la bibliothèque. Je le sens, l’ère du laxisme tire à sa fin.

Du talent

Vous avez l’impression de payer toujours plus cher, pour des services toujours plus médiocres? C’est dans votre tête. Voyez ça de manière positive : nous avons une bureaucratie et des intermédiaires qui possèdent une habileté hors du commun à capter au passage l’argent de vos impôts avant qu’elles n’arrivent à ceux qui en ont besoin. Notre talent rendrait jaloux les joueurs défensifs des Patriots et des Giants, qui s’en vont au Superbowl. Ici, on intercepte toujours le ballon avant qu’il atterrisse dans les mains du citoyen visé.

Je sais, la crise économique sévit. Dans le privé, les emplois se perdent à coups de milliers. Vous vous serrez la ceinture, et payez de plus en plus de taxes. Mais c’est normal. De cette façon, vous fournissez aux élites éclairées le confort nécessaire pour nous guider à travers cette tempête.

Il faut continuer de voir grand, dans notre parc jurassique québécois. Où nos scientifiques aux commandes ont complètement perdu le contrôle des monstres qu’ils ont créés.

jeudi 26 janvier 2012

Le prix Nobel de la paix prépare-t-il une (autre) guerre?

Par Robert Wenzel:

U.S. Weighs Expanded Military Presence in the Philippines
The leaders of the U.S. Empire are like the energizer bunny, they just don't stop.

WaPo reports that the Obama administration is considering significantly expanding the U.S. military presence in the Philippines, two decades after the island nation evicted American forces from their biggest base in the Pacific. Such an expansion would be the latest in a series of strategic moves aimed at surrounding China.

Someday a book will be written about the nutjob who wrote up the plan for the U.S. to control the world (as the country declines domestically).

Note to Obama: One of the key reasons the deficit isn't worse is because China has bought up a trillion dollars plus of the debt and helped keep US interest rates low. Do you really want to piss these people off?

mercredi 25 janvier 2012

L'Immobilier canadien: dégonflement de la bulle en vue?

Par David Descôteaux:

Si vous doutiez encore de l’existence d’une bulle immobilière au Canada, l’étude publiée dimanche par la firme américaine Demographia pourrait vous en convaincre. Quelques faits saillants :

— le marché immobilier au Canada est aujourd’hui considéré inabordable, après avoir été un des plus abordables au début des années 2000.

— Dans l’épicentre de la bulle, À Vancouver, le prix médian d’une maison dépasse de 10 fois le revenu brut d’un ménage. (C’est le multiple qu’utilise l’étude pour mesurer l’accessibilité — un marché « abordable » a un multiple de 3). À près d’un million de dollars la maison en moyenne, Vancouver est la deuxième ville anglophone la plus chère derrière Hong Kong, sur un échantillon de 325 villes.

— La surchauffe atteint aussi Montréal. L’île a vu son multiple grimper de 60 % depuis 2004, pour atteindre aujourd’hui 5,1. Bonne chance pour y trouver une maison décente en bas de 300 000 $! Montréal se trouve maintenant dans le top 6 des marchés « sévèrement inabordables » au Canada, avec Toronto et quatre villes en Colombie-Britannique.

lundi 23 janvier 2012

Le document secret qui a transformé la Chine...

...d'un enfer collectiviste 100% planifié a une économie semi-libre qui est encore planifiée mais avec des poches saines de liberté économique.

Via Economic Policy Journal et NPR.org:

Current day China is a mixed bag of central planning and free market activity. There likely will be a great economic crash in China because of the central planning, which has resulted in things like 40 million plus vacant apartments. But China, even with this central planning, is much better off than during the complete planning of the Mao reign.

National Public Radio has this fascinating report on how, in part, China broke free from the Mao inspired chains:
In 1978, the farmers in a small Chinese village called Xiaogang gathered in a mud hut to sign a secret contract. They thought it might get them executed. Instead, it wound up transforming China's economy in ways that are still reverberating today.

The contract was so risky — and such a big deal — because it was created at the height of communism in China. Everyone worked on the village's collective farm; there was no personal property.

"Back then, even one straw belonged to the group," says Yen Jingchang, who was a farmer in Xiaogang in 1978. "No one owned anything."

At one meeting with communist party officials, a farmer asked: "What about the teeth in my head? Do I own those?" Answer: No. Your teeth belong to the collective.

mercredi 18 janvier 2012

La citation du jour

What moral system should government follow? The same one individuals follow. Do not steal. Do not murder. Do not bear false witness. Do not covet. Do not foster vice. If governments would merely follow the moral law that all religions recognize, we would live in a world of peace, prosperity, and freedom. The system is called classical liberalism. Liberty is not complicated.

-Ron Paul, Liberty Defined, p. 211.

lundi 16 janvier 2012

L'épargne et l'investissement: les formes de charité les plus efficaces, et les plus éthiques

Par FA Harper, via Mises.org:

In this essay I shall be dealing, however, with one aspect of economic charity — a form inferior to charity of the mind and the spirit. People spend vast sums trying to do good with economic alms in forms which, to me, seem open to serious question. In their haste to do good and to bask in the glow of immediate glory as purveyors of alms, they are being exceedingly wasteful of the means of benevolence. The methods they use would come to appear unbenevolent, I believe, if they would view them by the test of alternatives in the longer perspective of economic science. That is the thought I should like to explore here, in honor of Professor Mises.

A certain Talmudical philosopher once offered us this apothegm:

The noblest charity is to prevent a man from accepting charity, and the best alms are to show and enable a man to dispense with alms.[1]
A profound observation! It deserves to be kept in mind constantly as we fumble along in attempts to do good to others.

jeudi 12 janvier 2012

Corée du Nord: Camps de travail forcé pour les citoyens n'ayant pas exprimé un 'deuil suffisant' à la mort de Kim Jong Il

Via Economic Policy Journal:

More proof most government leaders are nutty madmen (North Korea edition)

PIK.TV reports:
North Korean citizens, who did not take part in the mourning ceremonies for the country’s late Leader Kim Jong-il, are facing up to six months in labor camps, Interfax reported January 11.

According to the South Korean media sources, “People’s Courts” took place all over the country starting December 29 to condemn those who did not show enough emotion after the death of “the great leader” Kim Jong-il.

The People’s Court hearings were reportedly over by January 8. The behavior of those people, who criticized the three-generation principle of ruling the country, was also a matter of discussion during the court meetings.

It was reported earlier that 2012 calendars were fully taken out of stores because the date of death of the late Leader Kim Jong-il was not marked in them.

Kim Jong-il died December 17 of a heart attack in his armored train. The North Korean government, now headed by his son, Kim Jong-un, has promised to continue implementing “the great revolutionary leaders’ ideas” with the aim of reuniting the Korean Peninsula.

mercredi 11 janvier 2012

La liberté économique: cause de la liberté d'expression artistique

Via The Free Man:

In the early 1500s Albrecht Dürer was perhaps the most famous artist in northern Europe. A recent article in The Economist reports that he was also a shrewd businessman. In today’s world of popular artists — from Steven Spielberg to Lady Gaga — the pairing of business and “entertainment,” if regretted by some, is noncontroversial. But many still see the true artist and the profit-seeking business person as coming from radically different places.

Historically speaking, however, cases like Dürer’s seem to have been fairly common. Tyler Cowen explains in his book In Praise of Popular Culture, for example, that the artists of Renaissance Florence were men of business. Michelangelo and Raphael sculpted and painted timeless masterpieces for prelates and princes, but each had an eye for the bottom line.

jeudi 5 janvier 2012

Le rôle pernicieux de l'État dans la mort des langues locales

Par Danny Hieber, via Mises.org:

The history of the world's languages is largely a story of loss and decline. At around 8000 BC, linguists estimate that upwards of 20,000 languages may have been in existence.[1] Today the number stands at 6,909 and is declining rapidly.[2] By 2100, it is quite realistic to expect that half of these languages will be gone, their last speakers dead, their words perhaps recorded in a dusty archive somewhere, but more likely undocumented entirely.[3]

What causes this? How does one become the last speaker of a language, as Boa Sr was before her death in 2010? How do languages come to be spoken only by elders and not children? There are a number of bad answers to these questions. One is globalization, a nebulous term used disparagingly to refer to either global economic specialization and the division of labor, or the adoption of similar cultural practices across the globe.

The problem with globalization in the latter sense is that it is the result, not a cause, of language decline. Another bad answer, encompassed in the former definition of globalization, is trade and capitalism. Trade does not kill languages any more than it kills any other type of cultural practice, like painting or music. Trade enhances the exchange of cultural practices and fosters their proliferation; it does not generally diminish them. Historically, regional trade has fostered the creation of many new lingua francas, and the result tends to be a stable, healthy bilingualism between the local language and the regional trade language. It is only when the state adopts a trade language as official and, in a fit of linguistic nationalism, foists it upon its citizens, that trade languages become "killer languages."

dimanche 1 janvier 2012

Le NDAA: Un petit pas pour Obama, un grand pas pour Big Brother

Via The Atlantic:

Obama Makes It Official: Suspected Terrorists Can Be Indefinitely Detained Without a Trial