I prefer to see buying gold as buying into the stupidity of governments, policy-makers and economists, and I'm comfortable doing that.
-Dylan Grice, via Zero Hedge
Commentaire sur les marchés, l'économie, l'entraînement, la nutrition, et tout ce qui attire mon attention. 'The Growth of Knowledge depends entirely upon disagreement.' - Karl Popper (1902-1994)
dimanche 30 janvier 2011
jeudi 27 janvier 2011
Du devoir de rester debout face au mal
We have a duty to speak even more clearly and courageously, to work hard, and to keep fighting this battle while the strength is still in us.... Even those of us who have reached and passed our 70th birthdays cannot afford to rest on our oars and spend the rest of our lives dozing in the Florida sun. The times call for courage. The times call for hard work. But if the demands are high, it is because the stakes are even higher. They are nothing less than the future of liberty, which means the future of civilization.
-Henry Hazlitt
-Henry Hazlitt
Les gouvernements et la population: une relation éleveur-bétail
More generally, as long as you're a citizen of a country, that country's government is going to treat you like its property. So, if you are going to be a citizen of any place, which is unfortunately necessary, it's better to be a citizen of a small and backward country, or one that just doesn't have the ability or interest to monitor all of its citizens like prison inmates, as the U.S. does.
-Doug Casey
-Doug Casey
lundi 24 janvier 2011
Folie Keynesienne au World Economic Forum, et rapacité syndicale inouïe au New Jersey
2 articles par Mike Shedlock ont retenu mon attention.
Le premier est une réponse à une 'analyse' du World Economic Forum qui 'démontre' que l'économie mondiale a 'besoin' de 100 BILLIONS (Trillions en anglais)de dette supplémentaire d'ici 10 ans pour croître 'adéquatement'.
Je crois qu'un brin de gros bon sens est tout ce qui suffit pour comprendre le ridicule complet des opinions de ces gens, mais Shedlock démolit en détail, avec l'aide de l'économiste autralien Steve Keen, les arguments avancés par ces Keynesiens patentés.
Les deuxième illustre l'incroyable cupidité et arrogance des syndicats du secteur public, dans ce cas des policiers de Camden au New Jersey.
En effet, le gouvernement de Camden (une ville avec une population très pauvre) est pratiquement en faillite, et a du congédier 50% de sa force policière l'an dernier pour des raisons budgétaires.
Or, le maire de Camden a proposé au syndicat une offre qui aurait permis de ré-embaucher les policiers mis à pied.
L'offre demandait l'équivalent d'une réduction de salaire de 15% la première année et 5% l'année suivante.
Évidemment, le syndicat a refusé, préférant laisser 100 policiers sans emploi et la ville en manque de policiers pour assurer la sécurité, que de couper 15% des salaires des membres ayant plus d'ancienneté.
Le premier est une réponse à une 'analyse' du World Economic Forum qui 'démontre' que l'économie mondiale a 'besoin' de 100 BILLIONS (Trillions en anglais)de dette supplémentaire d'ici 10 ans pour croître 'adéquatement'.
Je crois qu'un brin de gros bon sens est tout ce qui suffit pour comprendre le ridicule complet des opinions de ces gens, mais Shedlock démolit en détail, avec l'aide de l'économiste autralien Steve Keen, les arguments avancés par ces Keynesiens patentés.
Les deuxième illustre l'incroyable cupidité et arrogance des syndicats du secteur public, dans ce cas des policiers de Camden au New Jersey.
En effet, le gouvernement de Camden (une ville avec une population très pauvre) est pratiquement en faillite, et a du congédier 50% de sa force policière l'an dernier pour des raisons budgétaires.
Or, le maire de Camden a proposé au syndicat une offre qui aurait permis de ré-embaucher les policiers mis à pied.
L'offre demandait l'équivalent d'une réduction de salaire de 15% la première année et 5% l'année suivante.
Évidemment, le syndicat a refusé, préférant laisser 100 policiers sans emploi et la ville en manque de policiers pour assurer la sécurité, que de couper 15% des salaires des membres ayant plus d'ancienneté.
dimanche 23 janvier 2011
Le 'double merci': leçon d'économie
Par David Descôteaux:
JEUDI 12 AOÛT 2010
Le moment du « double merci »
Entendu dans le métro récemment : « Quand deux personnes échangent biens et argent, l’une gagne et l’autre perd. Sinon, il n’y aurait pas de profit. »
Ce raisonnement est plus populaire qu’on le croit. Et justifie parfois l’hostilité envers le commerce ou le libre-échange. Seul problème : il est faux.
Combien de fois ça vous arrive de payer 1$ pour un café et, quand la caissière vous dit « merci » en vous remettant le café, de lui répondre « merci » ? Ce curieux moment du « double merci » est plus qu’un échange de politesse. C’est une leçon d’économie, dit le journaliste John Stossel.
Pourquoi ces « mercis » ? Parce que vous désirez le café plus que le dollar. Et que le commerce désire votre dollar plus que le café. Vous gagnez tous les deux.
Deux personnes échangent parce que chacune d’elle veut ce que possède l’autre plus que ce qu’elle possède déjà (rappelez-vous vos échanges de cartes de hockey). Si l’une d’entre elles gagnait et l’autre perdait, le perdant n’échangerait pas.
Nous vivons ce moment du « double merci » chaque fois que nous payons à la caisse dans une boutique de vêtements ou que nous souhaitons bonne journée à la serveuse en quittant un restaurant, explique John Stossel dans une de ses chroniques.
La même chose se produit quand vous achetez quelque chose d’un étranger. On appelle ces échanges « exportations » et « importations » juste parce que des frontières existent. Mais les frontières sont des accidents de l’histoire. Le résultat d’une décision arbitraire d’un politicien. Savez-vous si Montréal « souffre » d’un déficit commercial avec Drummondville ? Non. Parce qu’on s’en fout.
En réalité, il n’existe pas d’importation, ni d’exportation. Il y a ce que vous produisez et ce que tous les autres produisent. Les échanges sont mutuellement bénéfiques. Le protectionnisme – l’imposition de taxes à l’entrée de produits étrangers – est l’outil qu’utilisent les politiciens pour protéger leurs amis chefs d’entreprise en nous empêchant d’échanger avec quelqu’un (un étranger) qui nous offre un meilleur deal.
Dans le commerce comme ailleurs, deux mots embrument notre jugement : « nous » et « eux ». Nous n’échangeons pas avec eux. Le Canada n’échange pas avec la Chine, ou avec les États-Unis, ou tout autre groupe. J’échange avec toi. Tu échanges avec moi. Tremblay échange avec Nguyen. Des individus échangent avec des individus.
Si l’économie continue de s’enliser, les gouvernements de la planète seront tentés d’imposer des taxes et autres barrières aux produits étrangers. Ce serait une erreur.
Lorsqu’ils sont libres, les gens échangent à travers les frontières naturellement. Les acheteurs, autant que les vendeurs, en profitent, dit Stossel.
« Merci. – Merci. »
JEUDI 12 AOÛT 2010
Le moment du « double merci »
Entendu dans le métro récemment : « Quand deux personnes échangent biens et argent, l’une gagne et l’autre perd. Sinon, il n’y aurait pas de profit. »
Ce raisonnement est plus populaire qu’on le croit. Et justifie parfois l’hostilité envers le commerce ou le libre-échange. Seul problème : il est faux.
Combien de fois ça vous arrive de payer 1$ pour un café et, quand la caissière vous dit « merci » en vous remettant le café, de lui répondre « merci » ? Ce curieux moment du « double merci » est plus qu’un échange de politesse. C’est une leçon d’économie, dit le journaliste John Stossel.
Pourquoi ces « mercis » ? Parce que vous désirez le café plus que le dollar. Et que le commerce désire votre dollar plus que le café. Vous gagnez tous les deux.
Deux personnes échangent parce que chacune d’elle veut ce que possède l’autre plus que ce qu’elle possède déjà (rappelez-vous vos échanges de cartes de hockey). Si l’une d’entre elles gagnait et l’autre perdait, le perdant n’échangerait pas.
Nous vivons ce moment du « double merci » chaque fois que nous payons à la caisse dans une boutique de vêtements ou que nous souhaitons bonne journée à la serveuse en quittant un restaurant, explique John Stossel dans une de ses chroniques.
La même chose se produit quand vous achetez quelque chose d’un étranger. On appelle ces échanges « exportations » et « importations » juste parce que des frontières existent. Mais les frontières sont des accidents de l’histoire. Le résultat d’une décision arbitraire d’un politicien. Savez-vous si Montréal « souffre » d’un déficit commercial avec Drummondville ? Non. Parce qu’on s’en fout.
En réalité, il n’existe pas d’importation, ni d’exportation. Il y a ce que vous produisez et ce que tous les autres produisent. Les échanges sont mutuellement bénéfiques. Le protectionnisme – l’imposition de taxes à l’entrée de produits étrangers – est l’outil qu’utilisent les politiciens pour protéger leurs amis chefs d’entreprise en nous empêchant d’échanger avec quelqu’un (un étranger) qui nous offre un meilleur deal.
Dans le commerce comme ailleurs, deux mots embrument notre jugement : « nous » et « eux ». Nous n’échangeons pas avec eux. Le Canada n’échange pas avec la Chine, ou avec les États-Unis, ou tout autre groupe. J’échange avec toi. Tu échanges avec moi. Tremblay échange avec Nguyen. Des individus échangent avec des individus.
Si l’économie continue de s’enliser, les gouvernements de la planète seront tentés d’imposer des taxes et autres barrières aux produits étrangers. Ce serait une erreur.
Lorsqu’ils sont libres, les gens échangent à travers les frontières naturellement. Les acheteurs, autant que les vendeurs, en profitent, dit Stossel.
« Merci. – Merci. »
Norbourg: le scandale financier 'reglé', le scandale politique étouffé?
Par David Descôteaux:
Norbourg : le problème (et le mystère) demeure
23/01/2011
Qui se réjouit le plus de l’« entente Norbourg » survenue la semaine dernière? Les investisseurs floués, la Caisse de dépôt, l’AMF ou le ministère des Finances?
Je suis bien content pour les investisseurs concernés, qui vont revoir la couleur de leur argent. Mais ce règlement — et le fait que Vincent Lacroix a plaidé coupable à ses accusations — tue les espoirs d’un éventuel procès. Procès qui aurait pu nous éclairer sur les dessous de ce scandale.
Rappelons qu’en juillet 2008, l’avocat de Vincent Lacroix, Clemente Monterosso, avait lâché une bombe. Il avait dit aux médias, dont la Presse canadienne, qu’« avec la preuve qui s’accumule et les déclarations faites et certains éléments de preuve qui se retrouvent dans les mains de plusieurs personnes, on pourra parler bientôt d’un scandale politique plus que financier ».
Souvenez-vous que c’est la Commission des valeurs mobilières du Québec (CVMQ, aujourd’hui l’Autorité des marchés financiers) qui a donné son « OK » pour la création des fonds Norbourg, malgré de sérieux doutes au sein même de l’organisme. C’est le ministère des Finances qui, à la même époque, a donné une subvention de plus de 900 000 $ à Vincent Lacroix. Et c’est la Caisse de dépôt que certains accusent d’avoir vendu, en 2004, les fonds Evolution à Vincent Lacroix sans avoir fait au préalable une vérification suffisante.
Avec cette entente, on enterre l’histoire. Personne ne sera coupable de quoi que ce soit.
Norbourg : le problème (et le mystère) demeure
23/01/2011
Qui se réjouit le plus de l’« entente Norbourg » survenue la semaine dernière? Les investisseurs floués, la Caisse de dépôt, l’AMF ou le ministère des Finances?
Je suis bien content pour les investisseurs concernés, qui vont revoir la couleur de leur argent. Mais ce règlement — et le fait que Vincent Lacroix a plaidé coupable à ses accusations — tue les espoirs d’un éventuel procès. Procès qui aurait pu nous éclairer sur les dessous de ce scandale.
Rappelons qu’en juillet 2008, l’avocat de Vincent Lacroix, Clemente Monterosso, avait lâché une bombe. Il avait dit aux médias, dont la Presse canadienne, qu’« avec la preuve qui s’accumule et les déclarations faites et certains éléments de preuve qui se retrouvent dans les mains de plusieurs personnes, on pourra parler bientôt d’un scandale politique plus que financier ».
Souvenez-vous que c’est la Commission des valeurs mobilières du Québec (CVMQ, aujourd’hui l’Autorité des marchés financiers) qui a donné son « OK » pour la création des fonds Norbourg, malgré de sérieux doutes au sein même de l’organisme. C’est le ministère des Finances qui, à la même époque, a donné une subvention de plus de 900 000 $ à Vincent Lacroix. Et c’est la Caisse de dépôt que certains accusent d’avoir vendu, en 2004, les fonds Evolution à Vincent Lacroix sans avoir fait au préalable une vérification suffisante.
Avec cette entente, on enterre l’histoire. Personne ne sera coupable de quoi que ce soit.
vendredi 21 janvier 2011
Perspective Mexicaine sur la nature de l'État
The twentieth-century state has proved itself a force more powerful than the ancient empires and a master more terrible than the old tyrants and despots: a faceless, inhuman master who functions not like a demon but like a machine. Civil Society has almost completely disappeared: nothing and no person exists outside the state. It is a surprising inversion of values that would have made Nietzsche himself shudder: the state is Being and exception; irregularity and even simple individualism are forms of evil, that is, of nothingness.
The state is neither a factory nor a business. The logic of history is not quantitative. Economic rationality depends on the relationship between expenditure and production, investment and earnings, work and savings. The rationale of the state is not utility nor profit but power — gaining it, conserving it and extending it. The archetype of power does not lie in economics but in war, not in the polemic relationship of capital to work but in the hierarchical relationship of commander to soldier.
-Ottavio Paz, Mexicain d'origine, prix Nobel de Littérature 1990
Merci à Lew Rockwell.
The state is neither a factory nor a business. The logic of history is not quantitative. Economic rationality depends on the relationship between expenditure and production, investment and earnings, work and savings. The rationale of the state is not utility nor profit but power — gaining it, conserving it and extending it. The archetype of power does not lie in economics but in war, not in the polemic relationship of capital to work but in the hierarchical relationship of commander to soldier.
-Ottavio Paz, Mexicain d'origine, prix Nobel de Littérature 1990
Merci à Lew Rockwell.
La faillite des gouvernements: moralement et financièrement sain
Via le blogue de Lew Rockwell:
Government Bankruptcy Is a Great Idea
Posted by Lew Rockwell on January 21, 2011 08:51 AM
State governments, like municipal governments, should go bankrupt rather than raise taxes on their victims. In fact, as part of bankruptcy, taxes should be drastically lowered, bonds repudiated, pensions abolished, and employees fired. A great start towards solvency and decency. Remember, the money for all these “services” is extracted through violence and the threat of violence. But there is talk of constitutional problems of state bankruptcy in federal bankruptcy courts, because of states rights, so there should be a federal agency to supervise it! Oh brother. In fact, states can do it on their own and ignore the feds, using their own courts. Come on, California, get the ball rolling. Jerry Brown, unlike the awful Arnold, be a hero.
Government Bankruptcy Is a Great Idea
Posted by Lew Rockwell on January 21, 2011 08:51 AM
State governments, like municipal governments, should go bankrupt rather than raise taxes on their victims. In fact, as part of bankruptcy, taxes should be drastically lowered, bonds repudiated, pensions abolished, and employees fired. A great start towards solvency and decency. Remember, the money for all these “services” is extracted through violence and the threat of violence. But there is talk of constitutional problems of state bankruptcy in federal bankruptcy courts, because of states rights, so there should be a federal agency to supervise it! Oh brother. In fact, states can do it on their own and ignore the feds, using their own courts. Come on, California, get the ball rolling. Jerry Brown, unlike the awful Arnold, be a hero.
mercredi 19 janvier 2011
Les contribuables Québécois renflouent les victimes de Norbourg
Les contribuables Québécois, dans un bel élan de générosité, renflouent les victimes de Vincent Lacroix à la hauteur de 55 millions $ par le biais de l'AMF (je comprends que l'AMF ne paiera pas l'entiereté de ce montant), en plus d'un montant de 31 millions $ ayant déjà été payé en 2007.
Via le site du Montreal Gazette:
The $55 million will be paid by Quebec securities regulator the Autorité des marchés financiers (AMF), Northern Trust Co. Canada, Concentra Trust, accountant Rémi Deschambault and accounting firms KPMG and Beaulieu Deschambault, with no admission of responsibility.
Via le site du Montreal Gazette:
The $55 million will be paid by Quebec securities regulator the Autorité des marchés financiers (AMF), Northern Trust Co. Canada, Concentra Trust, accountant Rémi Deschambault and accounting firms KPMG and Beaulieu Deschambault, with no admission of responsibility.
mardi 18 janvier 2011
Droit naturel vs Pain et Jeux
Freedom is not an endlessly expanding list of rights — the ‘right’ to education, the ‘right’ to health care, the ‘right’ to food and housing. That’s not freedom, that’s dependency. Those aren’t rights, those are the rations of slavery — hay and a barn for human cattle.
-PJ O'Rourke
Merci à Antagoniste.net.
-PJ O'Rourke
Merci à Antagoniste.net.
samedi 15 janvier 2011
Les malinvestissements et le gouvernement, version éthanol
This is not just hype — it’s dangerous, delusional bullshit. Ethanol doesn’t burn cleaner than gasoline, nor is it cheaper. Our current ethanol production represents only 3.5 percent of our gasoline consumption — yet it consumes twenty percent of the entire U.S. corn crop, causing the price of corn to double in the last two years and raising the threat of hunger in the Third World.
– Jeff Goodell, via Zero Hedge
– Jeff Goodell, via Zero Hedge
samedi 8 janvier 2011
La fausseté de la nécessité gu gouvernement dans le financement de la science
Par Anita Acavalos:
Overall, we have seen the significance of the profit and loss mechanism in allocating funding for science projects and deciding on a micro scale how these projects should be managed. The elimination of this profit and loss mechanism is bound to lead to inefficiency as government bodies will not be able to use it as a guide to determine exactly which research projects can bear the most fruit. Finally, we have seen how the public funding of science tends to distort its results because “science is nothing if it is not truth, and truth is hard to reconcile with politics.”
Overall, we have seen the significance of the profit and loss mechanism in allocating funding for science projects and deciding on a micro scale how these projects should be managed. The elimination of this profit and loss mechanism is bound to lead to inefficiency as government bodies will not be able to use it as a guide to determine exactly which research projects can bear the most fruit. Finally, we have seen how the public funding of science tends to distort its results because “science is nothing if it is not truth, and truth is hard to reconcile with politics.”
mercredi 5 janvier 2011
L'incompétence et la malhonnêteté des médias
I believe 90% of everything in the news is bullshit. I watch it and read it purely for entertainment. And to have an idea what other people are supposed to believe.
-Doug Casey
-Doug Casey