mardi 30 novembre 2010

Un monopole bureaucrato-parasitaire accuse Google de 'pratiques monopolistiques'



November 30, 2010

Monopolist Accuses Others of Monopoly

The European Union, which holds a regulatory monopoly over any business within its territorial jurisdiction, has opened an investigation of Google. Previously the EU harassed Microsoft from 1993 to 2004. That case ended up with a fine of $794 million! Plus they dicked around with the Windows Media player and no doubt retarded its improvement. Between 2004 and 2008, even more fines were imposed: $1.44 billion. The name for the EU’s behavior is criminal extortion and robbery. So now the trouble begins for Google under an unbelievable and shameful pretext:

“The formal investigation announced Tuesday follows complaints from rival search engines that Google put them at a disadvantage in both its regular and sponsored search results, by listing links to their sites below references to its own services in an attempt to shut them out of the market.”

As I have blogged before, I hope the EU crumbles into dust. I hope the Irish resist, the Greeks resist, the Portuguese resist, right down the line. I hope the whole EU enterprise fails miserably.

lundi 29 novembre 2010

Résumé sur l'huile de noix de coco


Les gens qui me connaissent savent que je privilégie énormément l'huile de noix de coco, pour une multitude de raisons.


Because coconut oil is so highly saturated, it is the most stable oil on the planet – meaning, it is the most resilient to heat, light, and air. Whether coconut oil is expeller pressed (refined) like the Tropical Traditions oil I usually buy, or super duper extra virgin is not much of an issue. You could drop a nuclear bomb on a jar of coconut fat and it’s going to come out the other side unharmed. The extra virgin processing really isn’t necessary like it is with seed oils.

Extra virgin coconut oil’s biggest turnoff is its strong taste. Because of its strong taste and odor, its versatility as a cooking oil is greatly reduced. I used to take spoonfuls of extra virgin coconut oil straight, put it in smoothies, and use it to cook a bunch of stuff. At first I didn’t mind the taste, over time I did. I can’t stand the taste now, much less the smell. It’s revolting. The refined oil, however, is odorless and flavorless, and very well could be the most excellent and versatile of all cooking oils. Cooking most of your food in extra virgin coconut oil is gross, but you will automatically cook most of your food in refined coconut oil because it truly is the king of cooking oils.

Extra virgin coconut oil is also far more expensive than refined coconut oil. Usually triple the price. This is money thrown down the toilet for an oil that can fully handle expeller pressing and come out unharmed.

L'importance cruciale d'un retour à l'étalon-or


What is the best argument as to why Gold should be re-introduced as money? Very simple. Government cannot print it or create it out of thin air by “borrowing” it. Because they cannot do this, their power OVER their people is severely curtailed. Gold circulating as money is an essential bulwark of both economic freedom and political liberty. It deprives government of their means to RULE.

dimanche 28 novembre 2010

Islande vs Irlande, ou la folie de sauver les banques à coup de fonds publics



Iceland’s President Olafur R. Grimsson said his country is better off than Ireland thanks to the government’s decision to allow the banks to fail two years ago and because the krona could be devalued.

“The difference is that in Iceland we allowed the banks to fail,” Grimsson said in an interview with Bloomberg Television’s Mark Barton today. “These were private banks and we didn’t pump money into them in order to keep them going; the state did not shoulder the responsibility of the failed private banks.”

“How far can we ask ordinary people -- farmers and fishermen and teachers and doctors and nurses -- to shoulder the responsibility of failed private banks,” said Grimsson. “That question, which has been at the core of the Icesave issue, will now be the burning issue in many European countries.”

Parallèles entre le gouvernement et la mafia



Parlons mafia!

Pierre Simard (Le Journal de Québec, 26 nov. 2010, Page 19)

Au moment d’écrire ces lignes, plus de 225 000 citoyens ont signé une pétition réclamant une commission d’enquête sur l’industrie de la construction et le financement des partis politiques. Au risque de recevoir une mise en demeure, je dirais que ça équivaut à demander à la mafia d’organiser son propre procès.

On a beau dire, mais le gouvernement est une organisation qui exerce un pouvoir souverain sur une collectivité. Comme la mafia, notre système politique est organisé autour de clans ou partis politiques dont les membres – les politiciens – sont soumis à l’omerta et à la ligne de parti; un système qui vit de la pizzo ou de l’impôt des citoyens. Pour les mafieux, l’abus de pouvoir mène à la purge et à l’élimination pure et simple des coupables. Mais ces purges ne purifient en rien les mœurs mafieuses, pas plus qu’une purge politicienne réglerait les problèmes du Québec.
Depuis des mois, on traite de la corruption sur un fond éthique. On aurait qu’à démasquer quelques profiteurs pour bénéficier à nouveau de la supériorité morale de nos politiciens. Il suffirait d’annoncer une enquête publique, organisée et balisée par le pouvoir politique, pour s’affranchir de la corruption. Malheureusement, on a tort de voir dans ces scandales à répétition des incidents passagers attribuables au dysfonctionnement moral d’une poignée d’individus.

À s’attaquer aux symptômes, on ignore la racine du mal. On oublie qu’une fois la purge politicienne terminée, le gouvernement reprendra ses activités là où il les avait laissées. Cette quête d’éthique et de morale occulte le véritable problème : l’État est trop gros, beaucoup trop envahissant et, ce faisant, il est un foyer propice aux abus de toute sortes.

Les enquêtes réalisées par Transparency International sont révélatrices. Les pays les moins corrompus sont des pays prospères laissant une grande place à la concurrence et à l’économie de marché. À l’inverse, les pays les plus corrompus se démarquent par leur pauvreté et par un État omniprésent.

Pour s’attaquer à la corruption politique, on ne doit pas se contenter de traquer les mafieux. Il faut limiter la part de l’économie qu’on confie au secteur public. Présentement, nos gouvernements prélèvent en impôt près de la moitié de ce que la population produit et gagne. Pourtant, il ne se passe guère une journée sans que l’intégrité d’un élu ou d’un administrateur public soit mise en cause. Combien faudrat-il verser aux « coeurs vertueux » pour acheter notre protection?

La plupart des commentateurs politiques partagent une vision angélique de l’État. Pour eux, nos gouvernements n’ont qu’une ambition : celle de préserver le bien commun. Pendant qu’ils prêchent la conversion des consciences, ils oublient que ce sont souvent les lois, règlements et impôts abusifs qui sont à l’origine de ces activités illicites.

Espérons que l’ivresse de la vertu finira par s’estomper. Ce jour-là, nous devrons trouver des aménagements et des règles du jeu susceptibles de circonscrire le pouvoir de nos gouvernements. En attendant, comme le disait Henry David Thoreau, « Les hommes apprendront-ils jamais que la politique n’est pas la morale et qu’elle s’occupe seulement de ce qui est opportun? »

samedi 27 novembre 2010

Journalisme 101: blâmer le libre marché pour les échecs de l'interventionnisme étatique



La perversion journalistique

par Martin Masse

L'une des tactiques les plus systématiquement employées par les propagandistes étatistes est d'attribuer au libre marché les problèmes causés par l'interventionnisme étatique. On le constate tous les jours en lisant les journaux, qui rapportent les nombreux problèmes et crises qui surviennent dans les domaines où l'État intervient beaucoup. À qui la faute? Presque invariablement, même si l'explication est absurde à sa face même, c'est la faute à la déréglementation, aux privatisations, au retrait de l'État, aux coupures budgétaires, au néolibéralisme, au capitalisme débridé, etc.

Pravda-manchetteOn peut en constater deux exemples aujourd'hui dans des quotidiens montréalais. Dans La Presse, le journaliste économique Marc Thibodeau, à Dublin pour couvrir l'effondrement financier de l'Irlande, cite un analyste irlandais:

Le journaliste Fintan O'Toole, auteur d'un livre de référence sur l'effondrement de l'économie irlandaise, pense qu'il est «insensé» sur le plan économique pour l'État de continuer à injecter de l'argent dans les banques. Et «moralement obscène» de demander à la population de payer la note en se serrant la ceinture.

Pendant des années, dit-il, le gouvernement irlandais a fonctionné main dans la main avec les banques et un groupe restreint de promoteurs qui se sont concertés pour alimenter une bulle immobilière monstre vouée à l'éclatement.

Le tout dans un contexte de dérégulation totale inspirée d'une philosophie de libéralisme économique qui montre aujourd'hui ses limites, ironise M. O'Toole.

L'ironie et les sarcasmes envers le libéralisme économique, nos journalistes adorent cela. C'est rapporté au premier degré, comme un commentaire de toute évidence pertinent, sans aucune pointe d'ironie envers l'ironie déplacée de l'analyste irlandais, sans aucun commentaire contradictoire de la part d'un autre intervenant.

On reste donc avec l'impression que c'est ça le libéralisme économique: un gouvernement qui aide activement des banques et des promoteurs à fourrer le peuple. Et pourtant, les mêmes journalistes dénoncent constamment les effets pervers de cette autre prescription du libéralisme économique: le non-interventionnisme, le retrait de l'État, c'est-à-dire un État qui, logiquement, n'aiderait pas des banques et des promoteurs à faire quoi que ce soit.

La contradiction est tellement flagrante qu'on se demande comment quelqu'un dont la profession est de récolter, structurer et transmettre de l'information peut ne pas la voir. Dans un paragraphe, on dénonce le fait que le gouvernement irlandais fonctionne «main dans la main» avec des banques et un groupe restreint de promoteurs. Dans l'autre, on fait de l'ironie sur le fait que cela survient «dans un contexte de dérégulation totale inspirée d'une philosophie de libéralisme économique qui montre aujourd'hui ses limites». Ce qui laisse entendre que la solution serait... plus d'interventionnisme étatique et de contrôle sur l'économie de la part de ces mêmes politiciens et bureaucrates qui couchent avec les banquiers et les promoteurs!



Les agents de la transmission de la tyrannie


Without millions of yes-men, there can be no tyranny; this is why the petty bureaucrat, cop, code enforcement officer, TSA, DEA, IRS, EPA, or other agent should be a total outcast as far as decent people are concerned.

These low level people are the enablers of tyranny. Without them, it makes no difference how malevolent the tyrant is; he must have many accomplices. This is why the goon who is “just doing his job” is more dangerous than the man at the top. He will do his job in most cases no matter what it is; his paycheck depends on it. He should be shunned and ostracized because he is a danger to society.

-Chris Sullivan

Les entrepreneurs gagnent contre les nazis de la santé et de la taxation




SATURDAY, NOVEMBER 27, 2010

The Big Apple Black Market Blows a Big Hole in a New York Tax

NyPo reports on New York's crazed taxes on cigarettes:
It doesn't take much coaxing to get otherwise legitimate Big Apple businesses into the illegal cigarette trade.

"They come out here like they are salesman from Pepsi or the potato-chip company," said the owner of a north Bronx bodega that sells smuggled Newports and Marlboros for $8 a pack.

"I don't know how the city is going to stop it. The city is losing a lot of tax money," he said. "They are killing themselves, because no one is paying $12 for a pack of cigarettes, and I'm not paying taxes on the money I make selling them."

His supplier provides him with cartons between $45 and $50 a pop, which gives him a $30- to $35-per-carton profit.

Despite the risks, individual entrepreneurs are also getting into the act.

"I needed a second job, and since I couldn't find one, I decided to sell cigarettes," said Gregg, a 30-year-old who sells cigarettes out of his backpack for $8 a pack in Midtown. "So far, I'm making a good profit. Sometimes I make $160 a day."

Greg said he simply drives to Delaware, where he can get a carton for $27, and loads up his trunk.
Call it the Delaware Curve, and consider it a corollary to the Laffer Curve. There is a point at which if a state raise taxes on an item significantly higher than neighboring states, the state will actually experience declining tax revenue from the item taxed, as black market entrepreneurs will start operating and smuggle the item from the lower tax state to the higher tax state and sell the item tax free on the black market in the higher tax state.

jeudi 25 novembre 2010

Une vraie éducation en affaires



Real Business Education

If you want to study business, you can go to the typical government-tainted university to be blah-blahed at by bored grad students or overpaid professors in dusty edifices. They will care only about irrelevant research to be published in journals nobody reads, and their courses will be irrelevant too, except to the government-tainted accreditation cartel. Often your teachers will hate capitalism, too. Oh, and you can also accumulate vast debt while missing out on four years of experience and earning. Or, if you live in the UK, you can get a two-year or four-year degree in business management from McDonald’s, a for-profit enterprise brilliantly successful in actual business management. And earn a living while doing it. This is just one look at the market education of the future, a great deal for the student and the employer. And the tax payer. Statist U. is on its way out.

mercredi 24 novembre 2010

La première chose à faire quand on est dans le trou...

...c'est d'arrêter de creuser.

Dépenses: ne creusons plus le trou!

Texte d'opinion publié dans La Presse du 15 novembre 2010

Par Adrien Pouliot, président de Draco Capital inc.
(Ce texte a été publié à titre personnel, mais M. Pouliot est aussi le président du conseil d'administration de la Ligue des contribuables).

La présidente du Conseil du Trésor du Québec vient d'annoncer comment le gouvernement entend réduire l'augmentation des dépenses pour retrouver l'équilibre budgétaire dans quatre ans. Vous avez bien lu?: pas une réduction des dépenses, mais seulement un ralentissement de leur croissance.

Comme George Orwell l'a formulé...


...'tous les animaux sont égaux, mais certains sont plus Égaux que les autres'...


TSA: Some gov't officials to skip airport security

WASHINGTON (AP) — Cabinet secretaries, top congressional leaders and an exclusive group of senior U.S. officials are exempt from toughened new airport screening procedures when they fly commercially with government-approved federal security details.

Aviation security officials would not name those who can skip the controversial screening, but other officials said those VIPs range from top officials like Treasury Secretary Timothy Geithner and FBI Director Robert Mueller to congressional leaders like incoming House Speaker John Boehner, R-Ohio, who avoided security before a recent flight from Washington's Reagan National Airport.

The heightened new security procedures by the Transportation Security Administration, which involve either a scan by a full-body detector or an intimate personal pat-down, have spurred passenger outrage in the lead-up to the Thanksgiving holiday airport crush.

La citation du jour


Governments derive their just powers from the consent of the individual.
The government has no right to do anything that each and every individual does not have the right to do.
Any time a man has to pay for something he does not want because of the initiating of force by the government, he is, to that degree, a slave.


La naissance et l'évolution de Léviathan


mardi 23 novembre 2010

Le BS corporatif



Une subvention chocolatée pour Callebaut
22 novembre 2010 | 07h37

Agence QMI

Québec et Ottawa ont signé trois chèques totalisant 8,1 M$, la semaine dernière, pour aider Barry Callebaut, le chef de file mondial du cacao à s'acheter de nouveaux équipements.

Investissement Québec et le ministère du Développement économique ont donc accordé des subventions non remboursables de 3 M$ et de 2 M$, respectivement, à l'entreprise suisse qui a engrangé des profits nets de 257 M$ au cours des 12 derniers mois.

De son côté, Développement économique Canada contribue à hauteur de 3,1 M$ au développement de l'usine de Saint-Hyacinthe du géant du chocolat.

Barry Callebaut est, de son propre aveu, «le leader mondial des fabricants de produits à base de cacao et de chocolat de qualité supérieure». De novembre 2009 à novembre 2010, elle a vendu 1,3 million de tonnes de chocolat, pour un chiffre total de 5,34 milliards $.


lundi 22 novembre 2010

Obama: faites ce que je dis, pas ce que je fais




Obama's 'Beast' of a limo stands out at green NATO summit


19 nov 2010, LISBON (AFP) – The Portuguese hosts of Friday's NATO summit hoped to use the event to promote clean-energy and electric cars, but all eyes were on US President Barack Obama's diesel-guzzling "Beast" instead.

As is usual when he travels, Obama's eight-tonne armoured behemoth of a limousine was flown out to Lisbon before the US leader's arrival, and it ferried him from the airport tarmac to his first meetings of the weekend.

Doubtless he didn't intend the Beast's roar to drown out his hosts' green message, but a US presidential motorcade and its attendant escort of Secret Service SUVs do attract attention, even at the most elite gatherings.






Power to The People



National Opt-Out Day gains attention


By David Stewart White

21 November, 2010

Wednesday, November 24 is one of the busiest air travel days of the year in the United States. Coming just a day before Thanksgiving, airports are jammed to capacity with travelers heading home for the holiday. This year, those travelers will meet head-on with strict new search policies of the Transportation Security Administration. And not everyone is inclined to cooperate.

A web-based National Opt Out Day campaign is emploring airline passengers to "opt-out" of full-body scanning on November 24, forcing the TSA to conduct individual enhanced pat-downs on thousands of passengers. The organizers object to both the scans and the pat-downs, but plan the protest to bring further attention to what they see as ineffective and intrusive security by the TSA.

    vendredi 19 novembre 2010

    Société distincte



    Quebec choking on debt, health-care costs, Conference Board study says
    BERTRAND MAROTTE MONTREAL— From Friday's Globe and Mail

    The Quebec government is not pleased at being singled out in a stinging Conference Board of Canada study as the province where the fiscal alarm bells are clanging the loudest.

    All of the provinces face major challenges in the coming years getting their fiscal houses in order, but none more so than Quebec, says the new study.

    La citation du jour


    The key lesson of the freedom philosophy: the government is not above moral law. If it is wrong for you and me, it is wrong for people in government suits, too. That includes bombing, kidnapping, stealing, and counterfeiting, and calling these acts war, conscription, taxation, and monetary policy does not change their essence.

    -Lew Rockwell

    jeudi 18 novembre 2010

    La citation du jour


    One way of describing a libertarian is to say it's someone who's pro-choice – on everything.

    mercredi 17 novembre 2010

    Le US Postal Service, au bord du gouffre, consent des hausses de salaire èa ses employés en quémandant des fonds au Trésor Américain



    The Next Big Bailout: The US Postal Service



    Pourquoi c'est si difficile de démarrer une petite entreprise


    mardi 16 novembre 2010

    La citation du jour


    So many new infringements of liberty have occurred over the past ten years that anyone who managed to reverse them all, returning the U.S. federal government to roughly its scope in the year 2000, could justly be considered one of the greatest all-time benefactors of humanity.

    Hausse de 2000% en 5 ans des employés du gouvernement fédéral US gagnant plus de 180000$ par an



    Federal Workers Making Over $180,000 Increase By 2,000% In Past Five Years



    lundi 15 novembre 2010

    Jim Grant prône un retour à l'étalon-or


    Un autre analyste respecté se joint au mouvement idéologique voulant rendre officiellement à l'or son titre de métal monétaire.


    Jim Grant Joins The Chorus Demanding A Return To The Gold Standard


    La dette publique mondiale par pays


    La hantise deflationniste


    En fait, la deflation est bénéfique pour le niveau de vie de l'homme moyen, nonobstant les Krugman de ce monde...


    Falling prices aren’t necessarily bearish for jobs, profits or growth

    By Richard Salsman


    Fears of “deflation” are widespread. By one account, “the scare word whispered around Washington these days is deflation, which means a falling price level and sometimes implies a stagnant if not collapsing economy.” The “scare word” also spooks the U.S. Federal Reserve, which is now planning to print US$600-billion in more paper money, even though it has already tripled its balance sheet since 2008, and even though currency-gold prices, the world’s most sensitive inflation indicators, have skyrocketed by 16% to 41% in the past year (depending on the currency), and by an average of 26%.

    In the past, gold-price jumps of such magnitude, which always mean a depreciation in the real purchasing power of paper money, i.e., inflation, have been bearish for equities and growth.



    Read more: http://opinion.financialpost.com/2010/11/11/the-deflation-myth/#ixzz15LpfjWVC

    vendredi 12 novembre 2010

    La citation du jour


    Of course, Republicans say they believe in economic freedom – but don’t, while they actively dislike social freedom. Democrats say they believe in social freedom, but they don’t – although they definitely hate economic freedom.

    Une suggestion fascinante



    Pierre Simard

    L'auteur est professeur à l'École nationale d'administration publique, à Québec.

    La péréquation serait une vertu du fédéralisme. Pourtant, la péréquation incite le gouvernement du Québec à toujours dépenser davantage. Elle accroit notre dépendance à l'égard du gouvernement du Québec aussi bien qu'à l'égard de l'État fédéral. Je m'explique.

    Pour l'année budgétaire 2010-2011, le gouvernement du Québec recevra 8,5 milliards de dollars en virement de péréquation du gouvernement fédéral, soit 60?% des 14,4 milliards versés à l'ensemble des provinces «pauvres». Cette somme représente 13% des 65,5 milliards de revenus prévus par la province de Québec. Un véritable cadeau, si on considère que les contribuables québécois contribuent pour environ 20% aux recettes fiscales fédérales. En somme, 80% de ce chèque de péréquation est financé par nos amis du Rest of Canada (ROC).

    Si nous recevons autant de la péréquation, c'est qu'on considère que nous sommes une des provinces pauvres au Canada. Malgré tout, le gouvernement du Québec continue à offrir des services plus généreux que les autres provinces?: des programmes de garderie à 7$, de procréation assistée, d'assurance parentale, etc. C'est sans compter que l'on bénéficie de tarifs d'électricité et de droits de scolarité postsecondaires parmi les plus bas au Canada.

    Les politiciens expliquent ce paradoxe par l'engouement des Québécois pour les services publics. Pas sûr! Selon l'économiste Gérard Bélanger, qui s'appuie sur plusieurs études empiriques, «les subventions inconditionnelles aux administrations inférieures, tels les paiements de péréquation aux provinces, provoquent des accroissements équivalents aux dépenses». En science économique, on appelle ça l'effet «flypaper» ou l'effet «papier-collant».

    Ainsi, lorsque le gouvernement du Québec reçoit son virement de péréquation, il n'y a pas de ristourne pour le citoyen: aucune diminution de taxes ou d'impôt. L'argent colle plutôt là où il atterrit. Le gouvernement en profite pour mettre en place des programmes publics toujours plus cossus les uns que les autres, toujours plus coûteux, et qui appellent chaque fois de nouveaux impôts ou l'accroissement de la dette.

    Imaginons maintenant que le gouvernement fédéral, plutôt que de verser cette somme à la province, envoie à chaque citoyen du Québec son chèque de péréquation. Pour l'année financière 2010-2011, chacun d'entre nous recevrait ainsi un chèque de l'ordre de 1200$, soit 4800$ pour une famille de quatre personnes.

    Évidemment, amputer de 13% les revenus du gouvernement québécois serait dramatique pour nos élus. Un manque à gagner impossible à combler sans une refonte complète de nos programmes publics?; sans couper ou tarifer certains services présentement offerts gratuitement à la population. Mais attention, les Québécois ne seraient pas plus pauvres?: la «manne» fédérale n'aurait pas disparu, elle aurait simplement changé de poche.

    Le gouvernement serait obligé d'être convaincant pour récupérer cet argent des poches du citoyen. Dans un contexte où la population est de plus en plus méfiante à l'endroit de sa gestion des fonds publics, il lui faudrait prouver que tout nouveau prélèvement - impôt, taxe ou hausse de tarif - se mérite; nous convaincre que les services publics répondent à des besoins réels et que le tarif exigé en contrepartie se justifie. Ainsi, le simple citoyen récupérerait une partie du pouvoir du gouvernement de lui dicter la nature et la qualité des services qu'il reçoit.

    Vivre aux crochets des autres n'est jamais gratifiant. Plusieurs de mes collègues avanceront que c'est la péréquation qu'il faut abolir, qu'elle encourage l'inefficacité et crée de mauvaises incitations, etc. Évidemment?! Mais en attendant, pourquoi ne pas profiter de la manne fédérale pour redonner une certaine liberté économique aux citoyens du Québec? Ce serait si simple pour le gouvernement fédéral de cocher la case «changement d'adresse» et d'envoyer à chaque Québécois son chèque de bien-être social fédéral.

    L'épouvantail de la privatisation



    LUNDI 8 NOVEMBRE 2010

    Les animaux

    Les idées de droite commencent à gagner en popularité au Québec. Terrorisée à l’idée de perdre ses privilèges, l’« Alliance sociale » (lire : syndicale) monte aux barricades. Le souhait de cette brochette de syndicalistes : que l’État cesse de sabrer et privatiser les programmes sociaux.

    Mais quelle privatisation? Quelle menace? C’est plutôt l’inverse. Au Québec, on étatise et syndicalise les programmes sociaux sitôt qu’on en a la chance. La récente syndicalisation des 15 000 intervenantes en milieu familial par la CSN et la CSQ – et les grèves qui viennent avec – en sont le dernier exemple. Contrairement à ce que claironne la propagande syndicale, l’État grossit constamment. Le nombre de fonctionnaires aussi. Ce point est d’ailleurs bien développé par Michel Hébert sur son blogue, et par Mario Roy dans La Presse de ce matin.

    La « privatisation des services publics » est un mensonge. Un épouvantail ridicule qui n’effraie aucunement quiconque se donne la peine d'aller vérifier les chiffres du gouvernement. Et qui témoigne du fait que les chefs syndicaux passent trop de temps à manifester dans les rues (et à faire des croisières avec des amis à la moralité douteuse), et trop peu à moderniser leur discours.


    Argent sale


    7 des 10 districts les plus riches aux US sont autour de Washington DC.

    jeudi 11 novembre 2010

    Guns and Gold



    Merci à Doug Casey.

    Commentaires d'un spectateur à une conférence de Paul Krugman

    En résumé: le gouvernement doit s'endetter beaucoup plus pour relancer l'économie.

    Les voies du Keynesianisme sont décidément inpénétrables...


    Yesterday, I had the “pleasure” of attending a Paul Krugman lecture in one of my old classrooms at Yale and came away with a very different experience than the one I would have had as a wide-eyed undergraduate immersed in the dogma that is Yale econ theory. Also, I was really taken back by the fact that only Yale undergraduates were able to ask him questions; the older, more-informed members of the audience (roughly 50% of total attendees) were not allowed to partake in the discussion and ask challenging questions. Below, I’ve posted my “lecture notes” for your education/entertainment purposes.

    Conclusion: In attending a Paul Krugman lecture yesterday, we came away with two main takeaways: 1) the Perceived Wisdoms of academic dogma run rampant throughout U.S. monetary policy; and 2) Keynesians really don’t get it.

    -Darius Dale